TELECHARGEMENT SAVEZ-VOUS DE L'ANCIEN PANDORE

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STUPEFIE

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STUPEFAIT ?

« Stupéfié » et « stupéfait » sont des mots de nature différente.

Le premier est un participe passé, le second un adjectif. Or, parfois, la langue courante les confond. Pourtant l'adjectif ne doit pas être utilisé à la façon d'un participe passé, de même que le participe n'a pas à être employé comme adjectif.

Souvenons-nous que...

- « Stupéfié » est le verbe du 1er groupe « stupéfier » conjugué à un temps composé (passé composé, voix passive, plus-que-parfait, etc.).

- « Stupéfait » ne se conjugue pas mais s’utilise comme adjectif épithète (avec un nom) ou attribut (avec un verbe d’état : être, paraître, sembler, demeurer, rester, avoir l’air...).

- Pour simplifier grossièrement, on emploie « stupéfié » avec l’auxiliaire « avoir » et « stupéfait » avec l’auxiliaire « être ».
Donc, on dira...

- « Cette nouvelle m’a stupéfié(e) » : verbe conjugué au passé composé

- « Je suis stupéfait(e) de l’apprendre » : adjectif attribut du sujet.

Certes, on trouve parfois l’existence du verbe « stupéfaire », notamment dans le Petit Robert, qui signifie alors « frapper de stupeur ». Mais ce verbe est tombé en désuétude.

En dépit de nombreuses entorses à la règle, « stupéfait » ne devrait donc se construire qu'avec la préposition « de » (propre aux noms et adjectifs) et non avec la préposition « par » (surtout réservée aux verbes et tournures passives).

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[size=25]Quatre souverains français furent capturés au cours d'une bataille....

Lesquels ?

Quatre souverains français ont été capturés
sur un champ de bataille

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Le premier fut le roi
Louis IX
(ou Saint Louis)
capturé par les Mamelouks à la Mansourah, en Égypte, le 8 février 1250, lors de la septième croisade.
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Le deuxième fut
Jean II le Bon
(ou le Brave)
capturé par les Anglais à Poitiers le 19 septembre 1356.
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Le troisième fut
François 1er
capturé par l'empereur Charles Quint à Pavie, près de Milan, le 24 février 1525.
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L'empereur
Napoléon III
est le quatrième malchanceux. Il fut capturé à Sedan, le 2 septembre 1870.

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Les
« sauvageons »
en prison !
par Mathilde Dumas

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Le 26 novembre 1639, une déclaration royale renforçait le
« droit de correction »
des parents, permettant à ces derniers d’envoyer leurs rejetons rebelles, récalcitrants ou débauchés en prison.
Nul besoin, pour ce faire, de jugement : une simple lettre de cachet faisait l’affaire !

Voilà qui paraît bien excessif concernant des enfants… sauf que le terme « d’enfants » avait un tout autre sens au XVIIe siècle. Il désignait simplement toute personne mineure, la majorité n’étant alors acquise qu’à 25 ans !
Voilà de quoi donner une perspective nouvelle à cette ordonnance.
Quant à l’inconduite des « enfants », elle concernait essentiellement ceux de la noblesse et de la grande bourgeoisie, de jeunes gens souvent inactif avant leur intégration dans un corps d’armée, avant une succession et qui, de fait, se lançaient volontiers dans des « aventures » peu avantageuses pour leur famille.
C’est d’ailleurs ainsi que le célèbre
marquis de Mirabeau,
joueur invétéré, séducteur impénitent –généralement de femmes mariées- tâtera de la geôle ; pour éviter lui aussi cette infortune que le jeune
La Fayette
se rendra aux Amériques où il deviendra le héros que l’on sait.
Quant à la Bastille, chacun sait que sa population, au jour de la prise de la prison en 1789, était essentiellement composée de jeunes nobliaux enfermés là par leurs parents.
Un sort peu enviable, sans doute, mais bien peu traumatisant quand on sait les facilités auxquelles ils avaient droit lors de leur enfermement…

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Grenouille

Edmond Rostand, le naturaliste, était un spécialiste des grenouilles.
Il a notamment étudié cet animal dans des étangs appelés « étangs à monstres. » Il dit que ces études correspondaient à son tempérament de chercheur et à l'indigence des moyens matériels dont il disposait.

***

Comment observer ce qu'une grenouille a dans le ventre sans l'éventrer ?

Facile, en la rendant transparente.
Ce sont des chercheurs japonais qui ont ce batracien translucide à Hiroshima (eh oui !) Un grenouille créée à partir de Rena japonica qui est normalement de couleur ocre. Donc il ont fabriqué une grenouille dont on voit le moteur, comme ces voitures d'esposition.

A quoi ça sert ?
«On peut observer à travers la peau la croissance des organes, ou encore la façon dont un cancer commence et se développe, a expliqué le professeur Masayuki Sumida.
Il est possible de regarder les organes de la même grenouille tout au long de sa vie sans avoir besoin de la disséquer.
Les chercheurs peuvent aussi observer à moindre coût comment les toxines affectent les os, le foie et les autres organes.»

C'est magique !!!! Mais le crapaud n'est-il pas un prince qui se révèle par un coup de baguette ?

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Les mots
Transparence et transpiration

Du latin trans : à travers et parere : paraître.

Donc qui permet de voir à travers. Longtemps synonyme de translucide. Le verbe transparaître qui veut dire se manifester malgré un obstacle a remplacé progressivement transpirer (de trans et spirare à l’origine de spirituel) dans son sens figuré.

Spirituel vient donc de respiration.
On dit bien que l’esprit souffle où il veux (Jean 3,8)
On pourrait tirer longtemps la pelote des mots…

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besicles

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Depuis un peu plus de 700 ans, l'Homme est en mesure d'améliorer sa vision grâce à une aide visuelle. Avant déjà, des béryls, c'est-à-dire des pierres semi-précieuses taillées, furent utilisées comme loupe. Ce n'est pourtant que depuis la fin du 13 ème siècle, date à laquelle des inventeurs vénitiens mirent sur le marché des "bésicles clouantes", que les aides visuelles eurent un écho croissant.

Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, les besicles et les "estuys" étaient vendus par les merciers et les bimbelotiers dont certains se déplaçaient de village en village à la manière de colporteurs qui leur succédèrent.

En 1770 certains de ces vendeurs voulant améliorer la qualité de leurs produits s’organisèrent en une sorte de corporation, les "Compagnies de marchands miroitiers et opticiens".
Les lunettes sous leur forme actuelle furent inventées en Angleterre autour de 1850.

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Difficultés pour lire dans l'antiquité

*
Cicero, le célèbre orateur, politicien et adversaire de César, se plaignant dans une lettre que l'acuité visuelle se relâchait avec l'âge, ce qui obligeait à faire appel aux esclaves pour que ceux-ci fassent la lecture.
Au sujet de l'empereur Néron, on rapporte qu'il eut observé des combats gladiateurs à travers une émeraude.
Les premières "pierres de lecture" furent réalisées à partir de béryls. En allemand, "Brille" doit donc trouver son origine dans le terme "béryl".

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Premières lois optiques

*
Le philosophe grec Ptolémée formula la première légitimité des bases de l'optique de la réfraction de la lumière déjà quelque 150 ans après Jésus-Christ.
Aux environ de l'an 1000, le mathématicien et astronome arabe Alhazen développa les premières lois de la réfraction. Sur la base de ces écrits, des moines développèrent au moyen âge les pierres de lecture, généralement faites en cristal de roche ou en béryl. Il s'agissait d'une lentille surfacée comme une demi-sphère laquelle agrandissait l'écriture. C'est en 1267 que le moine franciscain Roger Bacon d'Oxford fournit la preuve scientifique que l'on pouvait agrandir les petites lettres à l'aide de verres surfacés de manière particulière

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Premiers verres de lunettes
de
Murano

*
La fabrication de verre blanc était à cette époque là une exclusivité des souffleurs de verre de Venise. Les célèbres verreries de Murano peuvent être considérées comme étant le berceau des lunettes.
La première forme de lunettes, les lunettes clouantes, fut développée grâce au rivetage de deux verres. C'est avec quelque effort que ces lunettes devaient être retenues sur le nez à la main, elles permettaient par contre la lecture et l'écriture jusqu'à un âge avancé

Fin du 15 ème siècle que les lunettes clouantes furent remplacées par les lunettes à branches ou des montures à arc faites d'une seule pièce

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Bonjour lunettes, adieu fillettes

*

Hors de l'Espagne, la bonne société n'appréciait par contre pas vraiment les lunettes. Celles-ci n'étaient pas seulement le signe de l'érudition,mais aussi un indice pour l'accroissement de l'âge. "Bonjour lunettes, adieu fillettes" était un dicton qui circulait en France. De nombreuses personnes, également des personnalités célèbres, refusaient de porter des lunettes en public. C'était entre autre le cas de Napoléon qui était myope ou du poète Goethe qui les refusa même totalement: "Chaque fois que je regarde à travers des lunettes je me trouve être un autre homme et je ne me plais pas".

Aux 17 ème et 18 ème siècle, expérimentation des branches métalliques à ressort. Les lunettes en fil de fer de Nuremberg, également connues sous le nom de "pince-nez", connurent un succès énorme. Elles s'imposèrent à travers toute l'Europe.
Les techniques les plus diverses firent leur apparition.
les lunettes à ruban, celui-ci entoura la tête pour fixer,
les lunettes à bonnet, les verres étaient fixés au pare-soleil d'une bonnet.
Un modèle muni d'une sorte de cerceau en acier - dit besicles frontales - auquel était fixé les lunettes était également en vogue.
Puis vint le monocle qui fit son apparition vers la fin du 18 ème siècle. En Angleterre et en Allemagne se répandit un verre unique, avec une monture ronde, qui fut tenu en place grâce aux muscles des paupières.
Les lunettes "à ciseaux" avaient leur origine en France, elles ne furent pas portées sur le nez, mais tenues devant les yeux. Ces lunettes que l'on pouvaient, si le besoin se fit sentir, rapidement faire disparaître, rencontrèrent un avis favorable même chez les "ennemis des lunettes", Napoléon et Goethe pour ne pas les nommer.
La lorgnette, avec un manche latéral, donc également des lunettes à tenir devant les yeux, fut introduite par l'opticien londonien George Adams.

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Des lunettes à temps jusqu'aux lunettes anatomiquement correctes

*
450 ans après l'apparition des premières lunettes on eu pour la première fois l'idée de fixer les lunettes contre les tempes ou au-dessus des oreilles au moyen de branches. L'opticien parisien Thomin réalisa en 1746 une monture à laquelle furent appliqués latéralement deux branches. En France, ces lunettes à tempes furent appelées " lunettes à tempes permettant de respirer à l'aise" - ceci par "égards" aux "pince-nez" alors largement répandus. La pression mena à la longue toutefois à des maux de tête.

Quelques années plus tard (1752), un autre opticien londonien connut un moment de gloire: Il avait prolongé les branches latérales et les équipa d'une articulation. Les branches articulées étaient nées. Les pièces ajoutées passèrent au-dessus des oreilles et améliorèrent ainsi le maintien. Ces lunettes furent appelées lunettes à oreilles. Quasi cent ans plus tard c'est une paire de lunettes sans branches qui arriva sur le marché. Une version améliorée et allégée du pince-nez.. Et lorsque l'opticien parisien Poulot inventa finalement en 1857 le support nasal, le bonheur avec les lunettes était quasi total.
C'est dans les années 20 du vingtième siècle que le look actuel et le design anatomiquement parfait devint réalité.

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http://www.snof.org/histoire/lunettesw.html

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faire
TINTIN

c’est être frustré de ce qu’on désirait, se passer, principalement, d’une chose à manger. Cela peut se dire aussi d’une abstinence sexuelle. Bref, c’est « se mettre la ceinture ».
L’expression, relativement récente, apparaît en 1935 dans le langage des troupiers. Il ne faut chercher là aucun rapport avec le reporter à houppette de Hergé, car le mot
«TINTIN»
pris isolément, est bien plus ancien.
Dès la fin du XVIe siècle, l’historien Etienne Pasquier écrit que « le tintin est imaginé pour exprimer les cloches quand elles sonnent à petit bruit, c’est-à-dire qu’elles tintent » (« Recherches de la France »).
Un siècle plus tard, en 1680, Richelet recense le terme dans son dictionnaire en lui attribuant un sens plus particulier : « Mot imaginé pour exprimer le bruit que font les verres lorsqu’on les choque les uns contre les autres. Le tintin des verres, où il y a d’excellent vin, charme les yeux et les oreilles. »
Mais pourquoi ces sons de cloches et ces entrechocs de verres ont-ils finalement été associés à la vacuité, au manque ?
Entre s’en mettre plein la lampe et se priver, il y a une nette différence ! Selon certains lexicographes, « faire tintin »
qui, au sens propre, peut revenir à sonner une cloche - évoque le quémandeur qui tire la sonnette en vain. Cela est possible.
Mais il faut considérer que l’expression apparaît dans le langage des soldats. Il est vrai que ce bon vieux « tintin » survécut essentiellement dans les troupes ou dans les chansons soldatesques. Le mot s’accompagna parfois de sa variante « r’lintintin », comme on le voit dans « la Vivandière », chanson écrite par Béranger en 1817 :
« Je vends, je donne et bois gaiement
Mon vin et mon rogomme ;
J’ai le pied leste et l’oeil mutin
Tintin, tintin, tintin, r’lintintin. »
On devait certainement chanter cet air-là à grands renforts de libations.
A la tienne, Etienne ! Beaucoup plus tard, en 1893, une chanson rapportée par A. Gennevraye dans son ouvrage « Tintin » suggère le même genre de scène bachique et militaire : « (…)
Zélie s’identifiait si bien avec le 6e hussard que, pour un rien, elle en eût porté l’uniforme.
Si tu l’avais vue à la fin d’un souper, debout, son verre en main, montrant ses trente-deux dents et chantant :
« Les hussards étant à la guerre
chargeaient, et d’un si fameux train
R’lintintin !
Qu’l’un d’eux laissa tomber par terre
Le sabre qu’il tenait en main
R’Lintintin ! »
« Les Hussards » (c’est cette Zélie que la troupe appelait « Tintin » parce qu’elle s’était fait une spécialité de cette chansons-là !).
Là aussi, on peut imaginer que, dans les casernes, les tintins des verres scandaient ces refrains joyeux. Il est possible que «faire tintin» ait pris son origine dans des appels de verres choqués avec le couteau ou des protestations de même ordre devant des assiettes sans pitance dans les réfectoires des casernes.
« Quoi ? On n’a rien ? Alors, on fait tintin ! »

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Pandoriens, Avez-vous des nouvelles de Milou ?

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Le baume

Tranquille

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Relatant les derniers jours de Louis XIV, Saint-Simon rapporte que le 31 août 1715, veille de sa mort, son entourage lui administra

"le remède de feu l'abbé Aignan"

ajoutant : "Les médecins consentaient à tout parce qu'il n'y avait plus d'espérance".

Le remède du père Aignan, capucin mort en 1709, est alors plus connu sous le nom de "baume du père Tranquille", ou plus simplement "baume Tranquille".

Dans une lettre qu'elle adrese à sa fille, le 5 novembre 1684, Mme de Sévigné écrit : "Pour votre côte, j'ai envie de vous envoyer ce que j'ai de baume Tranquille", et le 24 avril 1689, elle lui écrit à propos de la duchesse de Chaulnes avec laquelle elle se rend à Rennes : "Mme de Chaulnes eut avant-hier au soir un si grand mal de gorge qu'à Paris on aurait saigné d'abord; mais ici elle fut frottée à loisir avec du baume Tranquille".
Elle revient à plusieurs reprises dans sa correspondance sur ce remède dont elle ne cesse de vanter les vertus.

Il s'agit d'une infusion dans de l'huile d'olive de plantes narcotiques, dont la jusquiame, et de plantes aromatiques.
Ce baume est souverain dans toutes sortes de maux, notamment les douleurs rhumatismales.

On attribue son invention, dans les années 1660, à un capucin, le père François d'Aignan, protégé du Grand Condé qui lui a installé au Louvre un laboratoire où, aidé d'un de ses confrères, le père Rousseau, il poursuit des recherches en pharmacopée.

Ils sont appelés bientôt les
"capucins du Louvre"
et par Mme de Sévigné, les
"pères Esculape"
cependant que le père Aignan est surnommé le père Tranquille, peut-être par allusion à son remède dont les vertus apaisantes assurent une partie du succès.

Le baume tranquille, comme on dira très vite en oubliant la majuscule, traversera les siècles, selon des formules quelque peu variables selon les époques, et il est vendu aujourd'hui encore dans quelques pharmacies selon le Formulaire de 1974.

***
suite
Anecdote
Le roi Louis XIII reçoit en un an 215 lavements, 212 purgatifs et subit 47 saignées.

L'administration des clystères par les apothicaires royaux est entourée d'un grand cérémonial.

Le Duc de Liancourt, grand maître de la garde-robe, fait le récit de la scène qui se déroula au chevet de Louis XV, quelques jours avant sa mort :
"Il fut question de donner un lavement au roy. On le traîna à grand peine sur le bord de son lit, et là on le porta dans l'attitude convenable à la circonstance, c'est-à-dire le visage enfoncé dans l'oreiller et le derrière à découvert et en position. La Faculté, rangée autour du lit, fit place en se mettant en haie, au maître apothicaire qui arrivait la canule à la main, suivi du garçon apothicaire qui portait respectueusement le corps de la seringue, et du garçon de la chambre, qui portait la lumière destinée naturellement à éclairer la scène. Le maître-apothicaire, placé avantageusement, allait poser et mettre en place la canule quand, tout à coup, le garçon de la chambre, voyant que la lumière qu'il porte donne en plein sur le derrière royal, et imaginant apparemment que son effet peut être dangereux pour la santé ou au moins la commodité de sa Majesté, arrache avec précipitation de dessous le bras d'un médecin, un chapeau et le place entre la bougie et le lieu où le maître-apothicaire dirigeait toute son attention..."

L'administration du clystère étant à la mode, les apothicaires du siècle gagnent beaucoup d'argent.

Un apothicaire lyonnais, enrichi par cette pratique, eut pour épitaphe :

"Ci-gît qui, pour un quart d'écu
s'agenouillait devant un cul."

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http://histoirepharmacie.free.fr/main02-04.htm

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Le baume

Tranquille

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Relatant les derniers jours de Louis XIV, Saint-Simon rapporte que le 31 août 1715, veille de sa mort, son entourage lui administra

"le remède de feu l'abbé Aignan"

ajoutant : "Les médecins consentaient à tout parce qu'il n'y avait plus d'espérance".

Le remède du père Aignan, capucin mort en 1709, est alors plus connu sous le nom de "baume du père Tranquille", ou plus simplement "baume Tranquille".

Dans une lettre qu'elle adrese à sa fille, le 5 novembre 1684, Mme de Sévigné écrit : "Pour votre côte, j'ai envie de vous envoyer ce que j'ai de baume Tranquille", et le 24 avril 1689, elle lui écrit à propos de la duchesse de Chaulnes avec laquelle elle se rend à Rennes : "Mme de Chaulnes eut avant-hier au soir un si grand mal de gorge qu'à Paris on aurait saigné d'abord; mais ici elle fut frottée à loisir avec du baume Tranquille".
Elle revient à plusieurs reprises dans sa correspondance sur ce remède dont elle ne cesse de vanter les vertus.

Il s'agit d'une infusion dans de l'huile d'olive de plantes narcotiques, dont la jusquiame, et de plantes aromatiques.
Ce baume est souverain dans toutes sortes de maux, notamment les douleurs rhumatismales.

On attribue son invention, dans les années 1660, à un capucin, le père François d'Aignan, protégé du Grand Condé qui lui a installé au Louvre un laboratoire où, aidé d'un de ses confrères, le père Rousseau, il poursuit des recherches en pharmacopée.

Ils sont appelés bientôt les
"capucins du Louvre"
et par Mme de Sévigné, les
"pères Esculape"
cependant que le père Aignan est surnommé le père Tranquille, peut-être par allusion à son remède dont les vertus apaisantes assurent une partie du succès.

Le baume tranquille, comme on dira très vite en oubliant la majuscule, traversera les siècles, selon des formules quelque peu variables selon les époques, et il est vendu aujourd'hui encore dans quelques pharmacies selon le Formulaire de 1974.

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A essayer Mesdames et Messieurs

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Touche pas à ma plaque !

Le 1er janvier 2009, le système de numérotation des plaques d'immatriculation françaises va changer.

Chaque véhicule aura un numéro "à vie", du style de celui que vous voyez ci-dessus, et dans lequel le numéro du département aura disparu.

A gauche, le logo de l'Union Européenne. Puis une suite de 7 caractères maximum, avec dans l'ordre 2 lettres, 3 chiffres et à nouveau 2 lettres.
Puis, à droite une zone facultative avec un petit emblème, et, en dessous, par exemple, le numéro du département, tellement petit qu'il sera en fait illisible.

On va donc assister à la disparition du numéro du département dans la plaque d'immatriculation.

Ceci veut dire, par exemple,
- plus de voiture 75 rayées à Marseille,
- plus de jeux avec les gosses sur la route des vacances basées sur les plaques des voitures,
- plus de possibilité de reconnaître les "pays" quand on arrive au terrain de camping, etc ...

C'est tout un pan de notre histoire qui disparaît d'un coup ! Alors, un certain nombre de départements viennent déjà de rentrer

en résistance

- L'Ardèche (07)
Le mois dernier, le conseil général de l'Ardèche a pris une délibération, votée à l'unanimité, pour que le numéro du département (07) puisse continuer à figurer sur les plaques.

"Le 7, c'est un chiffre porte-bonheur pour l'Ardèche. Il fait partie de nos vies. C'est un élément de notre identité. Si on ne fait plus de différence entre les Ardéchois et nos voisins drômois (26), il n'y aura plus d'engueulades sympathiques sur les routes."

- L'Aude (11)
En Languedoc-Roussillon, la région n'a pas laissé le choix à ses cinq départements. La partie droite de la plaque d'immatriculation sera exclusivement réservée au logo régional. Les conseils généraux devront donc réfléchir à un subterfuge pour afficher eux aussi leur identité. Le conseil général de l'Aude a déjà sa petite idée en tête. Les élus audois planchent déjà sur un marquage extérieur et gratuit du numéro 11 sur les véhicules neufs.

- La Gironde (33)
Dès le 26 octobre, une motion a été votée par les conseillers généraux PS, PC et CPNT pour que « l'identité du département de la Gironde soit clairement affichée sur toutes les plaques des véhicules immatriculés, à compter du 1er janvier 2009, par l'apposition obligatoire du numéro 33 et du logo du conseil général. »

- Le Pas-de-Calais (62)
« Le 62, c'est nous ! Ce numéro fait partie de notre patrimoine.

Sur l'autoroute, lorsqu'on arrive dans un terrain de camping, sur un parking... on regarde toujours les gens qui sont là ! » explique Dominique Dupilet, président du conseil général du Pas-de-Calais.

- La Vendée (85)
« On va maintenir l'ancien système de numérotation avec le logo du département, on est en discussion avec les concessionnaires et les garagistes pour apposer sur les nouvelles plaques d'immatriculation un autocollant avec le numéro et le logo du département. », a déclaré Philippe de Villiers, le président du conseil général de Vendée, qui entre en résistance.

***

Moi, je vais regretter le numéro des département sur les plaques des voitures. Et vous ?

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Pour en savoir plus :

1. Plaque d'immatriculation française (Wikipédia)
2. Nouvelles plaques d’immatriculation : Touche pas à mon département ! (France Soir)

3. Touchez pas à nos plaques ! (Le Parisien)

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[center]Da Mona Lisa
décodée

J’ai appris du Figaro (Net) que la Joconde aurait enfin été démasquée.

Depuis près de quatre siècles en effet, des hurluberlus de tout poil se perdaient en conjectures et en thèses fumeuses sur l’identité du modèle d’après lequel notre brave Léonard peinturlura ce qui serait hélas le tableau le plus célèbre de la planète.

Pas mal de monde de vivant à l’époque (vers 1500) fut soupçonné de se cacher derrière les traits et le sourire légendaire de la Mona Lisa.
Même Léonard devint cible de tels ragots qui n’avaient d’autres objets que de faire mousser grave leurs émetteurs mythomanes en panne d’imagination ou en mal de célébrité sans doute.

Il se trouve que tout récemment, un manuscrit datant de 1503 découvert à Heidelberg a révélé en marge d’une de ses pages une annotation d’un certain Agostino Vespucci par laquelle ce dernier relate que son pote Léonard de Vinci était en train de travailler sur trois tableaux dont un portrait de «Mona Lisa Maria Gherardini, épouse du sieur Francesco del Giocondo, marchand de soie de son état et même un riche marchand de soie, ce qui va de soi »
C’est ce mari (vieux barbon bleu, soit dit en passant) qui aurait commandé le portrait au peintre lequel, d’ailleurs, mit plus de trois ans à le faire pour le vendre finalement à son nouveau sponsor, Anchois Premier, Roi de France (mais point encore de Navarre)
Or donc et subséquemment, exit Isabelle d'Aragon, Caterina Sforza, Isabelle d'Este ou encore Léonard lui-même au titre de « Joconde »
Ah mais.

Bon sinon, la Joconde ne m’a jamais particulièrement fait bander me pâmer d’admiration et m’a toujours touché l’une sans bouger l’autre laisser de marbre.
Je ne dis pas que c’est nul, oh là non, loin de moi cette pensée, mais je pense que ce n’est pas le tableau le plus réussi – ou en tout cas, ce n’est pas l’oeuvre que je préfère - de ce brave Léonard.
Le tableau de Vinci que j’aime parmi tout autre, c’est bien « l’Annonciation » que j’ai eu la chance de voir « de visu » et même en directe live dans un des plus beaux musées du monde, les Offices à Florence (Italie, pour les cancres las)
Mais j’en reparlerai hein !

Allez, on t’aime quand même, la Mona Lisa, reste avec nous, mais arrête de nous fixer comme ça sans arrêt, ça nous fout les boules !

***

La Joconde a désormais un nom
16/01/2008 Le Point.fr

Mona Lisa se nommerait en réalité Lisa del Giocondo, née à Florence le 15 juin 1479.
Son sourire restera à jamais énigmatique, mais après avoir suscité des myriades d'hypothèses, la Joconde de Léonard de Vinci a enfin une identité. Pour tenter d'expliquer son aura mystérieuse, certains spécialistes avaient été jusqu'à imaginer qu'elle fût un travesti.
Or il n'en est rien.
La découverte des notes écrites en 1503 par le fonctionnaire florentin Agostino Vespucci confirmerait la thèse de l'Italien Giorgio Vassari qui était, jusqu'à présent, le seul à avoir donné un nom au modèle de Léonard de Vinci dans un ouvrage datant de 1550.

Femme d'un marchand florentin

Le véritable nom de La Joconde, alias Mona Lisa, serait Lisa del Giocondo, née Lisa Maria Gherardini à Florence le 15 juin 1479, et épouse du marchand d'étoffes Francesco del Giocondo.

La preuve de l'identité de Mona Lisa dormait dans les fonds de la bibliothèque de l'université d'Heidelberg, la plus ancienne faculté d'Allemagne. C'est là que l'expert Armin Schlechter a fait sa découverte, il y a deux ans.
Selon Le Figaro , l'information qui vient d'être révélée par un communiqué de la Bibliothèque universitaire était jusqu'alors passée presque inaperçue mais le directeur de l'établissement serait sur le point de publier une étude plus fouillée sur la question.

http://www.lepoint.fr/content/monde/article?id=218864

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Freegan, déchétarien

cela ne vous dit rien ?

et bien c'est la dernière création ou plutot la dernière dégénérescence contre la société de consommation - ou l'art de théoriser sa fainéantise.

Le principe est relativement simple, plutot que de travailler pour subvenir à ses besoins et de se payer son loyer - on squatte -, pour ne pas payer son coiffeur on se laisse pousser les tifs, pour ne pas se payer de savon, on ne se lave pas et maintenant on devient déchetarien. Rien de plus sain en effet que de bouffer dans les poubelles : gratuité de la nourriture pour tous + réduction du gaspillage - cette dernière phrase est reprise tel quel sur un site s'en revendiquant, donc maintenant plus besoin d'acheter à manger.

Le freeganisme a son coté "hype" - hype c'est branché puissance 1000- car c'est une résistance** contre l'affreux capitalisme.

Le déchétarisme est un courant idéologique écolo, altermondialisme, anticapitalisme,.....enfin ca reprend toutes les saloperies des poubelles de l'histoire. Sachez aussi que le dechétarien ou freeganiste organise des soirées, si vous avez des (futurs) amis dans cette mouvance, demandez le menu avant d'accepter une invitation à diner un prochain samedi soir.

Imaginez un instant un pauvre SDF en train de dépérir, voyant la jeunesse se convertir à son mode de vie -non choisi- lui piquant sa bouffe ou la lui redonnant, pour se donner bonne conscience -plutot que d'offrir un frais sandwich-, notre jeune déchétarien lui redistribura un menu qu'il lui aura confectionné, ils sont bien ces jeunes... Cela me rappelle une phrase dans le livre de Pascal Bruckner, le sanglot de l'homme blanc ou parlant de l'Inde, il décrit un indien que les occidentaux ont habillé et civilisé qui voyait débouler dans son pays de jeunes hippies occidentaux a moitié dénudés et dégentés, faire le strict chemin inverse.

Il faut avouer quand même que cela est écologique et nous n'aurons plus besoin d'usines de recyclage ni plus besoins de cochons pour éliminer nos restes. Les manuels scolaires seraient-ils responsable en partie de tout cela?

Vous aurez compris si vous en apercevez un par la fenêtre, jetez lui vos poubelles, il vous en sera gré.

** le mot est dit et on ne peut pas lutter contre un résistant

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La Loi sur la récupération des déchets
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Il est autorisé, en france, de fouiller les poubelles afin d'aquérir des biens.

TOUT DECHET, en matière juridique, est considéré RES NULLIUS : il n'appartient à personne, et le premier à s'en emparer en devient propriétaire.
Aucune taxe ne peut être prélevée sur les déchets ainsi récupérés, fus-ce des lingots d'or.

La benne, à l'instar de son contenu, a un propriétaire.
Sa fouille est possible lorsqu'elle est sur la voie publique, à condition bien sur que les déchets qu'elle contient ne soient pas dispersés sur la voie publique.

***

Legipoubelles : Cas particulier

*

Recel

Un objet recélé qui a été déposé dans une poubelle n'est pas considéré Rest Nullius (mais vous ne pouvez pas être inculpé d'avoir ramassé un objet volé dans une poubelle SI VOUS POUVEZ PROUVEZ que vous ne saviez pas qu'il était volé.)

*

Fouille des poubelles à fins d'obtenir des informations

La fouille peut alors être considérée comme "traitement de données personnelles" et est soumise à réglementation dans certains pays, comme en suisse (ce n'est pas, je crois, le cas de la France.)

Il est cependant interdit d'utiliser certaines informations telles des numéros de cartes bancaires. (ce qui ne relève plus de la fouille en elle-même, mais de son utilisation).

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Poubelles sur une propriété privée

En théorie, il est interdit de fouler une propriété privée qui ne nous appartient pas. Il peut s'agir d'un parking, d'une route, d'une déchetterie,...
En pratique, vous ne pouvez être blâmé de fouiller les détritus sur un terrain qui n'est ni cloturé, ni présenté comme "Propriété Privée" par un panneau, par exemple.

Escalader, défoncer, ou bien même emprunter une 'ouverture pirate' réalisée au sein d'une cloture (grillage, portail, ...) pour pénétrer une propriété privée peut vous apporter de grave ennuis juridiques ou fliqueux (garde à vue, violation de domicile, tentative de vol, ...)

*

Manger des déchets

Légendairement préjudiciable pour les anciens propriétaires des déchets (dans la mesure ou vous pouvez essayer de porter plainte contre eux si vous vous empoisonnez avec les aliments qu'il ont mis à votre "disposition" sur la voie publique).
Personne cependant n'a le droit de vous empêcher de faire ce que vous voulez avec votre corps (en France, le suicide est autorisé par la loi depuis 1810 sous le règne de Napoléon) et avec des res nuillus.
C'est donc au "jeteur" de veiller à ne pas déposer de nourriture dans ses poubelles ; ce dernier en aucun cas ne peut vous empécher de fouiller une benne sur la voie publique.
[Certain utilisent de l'eau de javel, poison fort odorant, afin de dissuader les glaneurs de manger dans leurs poubelles. Ces aliments empoisonnés vous feront gagner une fortune si votre frère est avocat.]

Vous pouvez cependant calmer les ardeur des propriétaires des poubelles (ou des employés des propriétaires des poubelles) en leur signant une décharge stipulant que "vous ne porterez pas plainte contre les anciens propriétaires des déchets que vous ramassez, et que leur ingestion relève entièrement de votre responsabilité" (le tout cerficié sur l'honneur, signé, daté).

Après tout ca, si on vous empèche de plonger dans une benne, appelez la police.

FOUILLER LES POUBELLES
EST UN DROIT
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EPOQUE RENAISSANCE
1500 - 1600

La famille, les fêtes et les croyances

La famille
La durée de vie augmente, la notion de famille évolue.
Ainsi les grands parents vivant plus vieux ont la possibilité de connaître leurs petits enfants. Et dans les rues, il est plus fréquent de rencontrer des personnes âgées.
Par contre, la jeune femme est très courtisée, une certaine liberté des mœurs se mettant en place. Les religions catholique et protestante vont difficilement réussir à moraliser ces comportements.
Ces mœurs libertins se retrouvent dans les identités des femmes dites "accueillantes".
Dans ces nouveaux comportements, l'enfant acquière une place plus importante. On veille plus à la qualité de son éducation.

Les fêtes
La fête est très présente, que ce soit dans les Cours des princes ou dans le plus humble hameau de France. Les fêtes religieuses côtoient les fêtes profanes comme les feux de la Saint Jean. La fête des amoureux, la Saint Valentin, est déjà fêtée à la Renaissance en Italie.
Mais les fêtes sont également l'occasion de jeux plus physiques comme les tournois (le roi Henri II mourant au cours de l'un eux), le jeu de paume, la quille ou la soule. Dans ce dernier sport, les équipes adverses se disputent un ballon de cuir appelé l'esteuf. Ce sport serait peut être l'ancêtre du rugby. Le billard et le criquet sont également prisés, et ce, par toutes les classes sociales.
D'autres divertissements sont réservés au plus fortunés comme la chasse à courre, les tournois ou la chasse au vol.
Dans les Cours princières, les fêtes s'organisent autour de bals, de spectacles et de banquets. On y découvre l'usage des premières fourchettes. Les jeux de séduction y ont cours.
A la Renaissance, les fêtes religieuses marquent encore une série de rendez-vous voués à la procession et à la prière.
Les confréries prient leurs saints patrons, les villes prient pour leur délivrance des mains de l'ennemi.
Les fêtes religieuses sont parfois précédées de fêtes païennes comme le Carnaval juste avant le Carême. Les fêtes de Carnaval donnent lieu à des défilés et des déguisements. On en profite pour tourner en dérision ses craintes. Il arrive que des animaux soient lâchés dans les rues des villes.
La musique et la danse tiennent une place importante dans les fêtes et ce quelque soit son origine sociale. Les danses de la Renaissance sont la pavane, le bransle, la volte et la courante. Elles viennent d'Italie principalement.
Les bals sont souvent suivis d'une collation et de jeux de société comme les cartes (notamment les tarots), les dames ou les échecs.
Le théâtre qui représentait un moment de divertissement, à la Renaissance, il devient un ART à part entière. On y trouve des farces et des comédies antiques.
Les architectes ont imaginé d'importantes machineries pour opérer des changements de décor en cours de représentation.
Des instruments de musique font partie de la pièce comme les luths, tambours, flûtes, cornets et cathares. Cela préfigurera l'opéra du XVIIème siècle avec Monteverdi.

Les croyances
A la Renaissance, les croyances, les peurs et les superstitions sont les mêmes qu'au Moyen Age. Par contre, les forces occultes sont plus redoutées.
La sorcellerie se développe au XVème et XVIème siècle en Europe.
On redoute la fin du monde et chaque évènement douloureux peut être vu comme un indice de son imminence.
Les inquisiteurs, poursuivant les hérétiques, établissent un manuel appelé : "Le marteau des sorcières".
En 1581, Jean Bodin expose les crimes des sorciers :
"Ils reniaient Dieu.
Ils le blasphémaient.
Ils adoraient le Diable.
Ils lui vouaient leurs enfants.
Ils les lui sacrifiaient avant le baptême.
Ils les consacraient à Satan dès le ventre de leur mère.
Ils promettaient au diable d'attirer tous ceux qu'ils pourraient à son service.
Ils juraient par le nom du Diable.
Ils faisaient mourir les gens par poison et sortilège.
Ils faisaient crever le bétail.
Ils faisaient périr les fruits.
Ils avaient avec le diable une copulation charnelle."

Les gens deviennent suspicieux, rejetant un comportement jugé anormal.
Ils sont surtout méfiants des femmes : leur jeunesse en font des créatures diaboliques et une fois âgées elles font peur par la sorcellerie qu'elles peuvent éventuellement utiliser.
La punition de ceux qui sont jugés coupables est sans appel. Du XVème au XVIIIème siècle, c'est entre cinq cent mille et deux millions de personnes qui périront sur un bucher.
Dans les villes, les plus pauvres, souvent marginalisés, entraînent la peur des autres habitants.
Voici retracés divers pans de la société italienne ou française durant la Renaissance. Pas très élégant tout ça !!!!

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Ce papillon
(sa chenille)
réussit à se faire passer pour une fourmi : dans des régions du Danemark, l’Azuré des mouillères dupe si bien les fourmis qu'elles élèvent ses larves au dépens des leurs.
Le superbe papillon bleu (cela pouvait-il nous laisser de marbre ?) est un faussaire qui mime la signature biochimique des fourmis. David R. Nash (Univ Copenhague) et ses collègues européens ont étudié plusieurs sites au Danemark où les chenilles de l’Azuré des mouillères se développent sur des plantes des marais avant que Myrmica rubra et Myrmica ruginodis ne les ramènent prestement dans leurs nids.
Les fourmis s’occupent alors des chenilles au détriment de leur propre progéniture. Les biologistes ont constaté que le papillon mimait la composition lipidique de la cuticule des fourmis, et grâce à cela attirait les fourmis mais que cela variait d’un endroit à l’autre. Ils suggèrent que la concordance entre le profil chimique de la cuticule des deux animaux doit être considérée avec soin lorsque l’on réintroduit l’espèce menacée de l’Azuré des mouillères dans la nature.
Les papillons Maculinea alcon sont des parasites. Reste à savoir si le papillon ne rendrait pas aux fourmis Myrmica, en retour, un "service". Cela se produit assez régulièrement dans le milieu naturel, où les vrais parasites, ceux qui éliminent leurs hôtes à force d'abuser ont souvent un avenir compromis. On ne parle plus alors de parasitage, mais de co-évolution.
Dans la classe politique il n'est pas rare non plus qu'un notable devienne ministre en révélant ses autres et vraies couleurs. Mais cela n'a qu'un temps.
Source : Journal Science (4 jan 2008)

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alerte je ne
Comprends pas ! ~ en France

il se produit chaque premier mercredi du mois à midi et chaque fois que le calendrier bute sur ce jour fatidique, une sonnerie d’alarme sinistre et tonitruante qui, somme toute, est plutôt angoissante. Cette dernière provoque invariablement en moi un profond et violent sursaut.
Le plus étonnant dans l’affaire c'est que personne ne semble s’en soucier. On n’en fait cas nulle part, ni à la télé, ni dans les journaux.

Je n’ai d’ailleurs jamais pu résoudre définitivement cette énigmatique question, mais apparemment il s’agirait d’un vestige de la Seconde guerre mondiale. Une pratique d’alarme générale, un "tous aux abris", si vous préférez. Comme au temps des bombardements intempestifs...c'est une reflexion .

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Alerte aux populations

l'alerte à court terme : le danger est soudain et imminent dans ce cas, l'alerte se fait en général par un signal sonore (sirène).
En France, l'alerte aux population se fait via le réseau national d'alerte (RNA). Il s'agit d'un réseau constitué d'environ 4 500 sirènes réparties sur le territoire, il est hérité de la défense passive de la Seconde Guerre mondiale.
Les signaux ont été définis par le décret n°90-394 du 11 mai 1990 relatif au code national d'alerte. Il s'agit d'une sirène montante et descendante, en dents de scie, durant une minute et répété trois fois, avec une pause de cinq seconde entre chaque signal.
Le signal national d'alerte est testé le premier mercredi de chaque mois à midi : le signal d'alerte retentit une seule fois (au lieu de trois) à 12h00, puis le signal de fin retentit à 12h10, ce signal de fin d'alerte informe la population lorsque tout danger est écarté. C'est un signal continu qui dure trente secondes.
Autrefois, cette sirène était exclusivement réservée à l'annonce des bombardements aériens. En temps de paix, on l'utilise en cas de risque majeur
Jusqu'en 1999, les consignes étaient indiquées sur les annuaires téléphoniques de France Télécom.

texte et mise en page enno-pandore

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alerte
Comprends pas ! en France

Il se produit chaque premier mercredi du mois à midi et chaque fois que le calendrier bute sur ce jour fatidique, une sonnerie d’alarme sinistre et tonitruante qui, somme toute, est plutôt angoissante. Cette dernière provoque invariablement en moi un profond et violent sursaut.
Le plus étonnant dans l’affaire c'est que personne ne semble s’en soucier. On n’en fait cas nulle part, ni à la télé, ni dans les journaux.

Je n’ai d’ailleurs jamais pu résoudre définitivement cette énigmatique question, mais apparemment il s’agirait d’un vestige de la Seconde guerre mondiale. Une pratique d’alarme générale, un "tous aux abris", si vous préférez. Comme au temps des bombardements intempestifs...c'est une reflexion .

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Alerte
aux populations

l'alerte à court terme : le danger est soudain et imminent dans ce cas, l'alerte se fait en général par un signal sonore (sirène).
En France, l'alerte aux population se fait via le réseau national d'alerte (RNA). Il s'agit d'un réseau constitué d'environ 4 500 sirènes réparties sur le territoire, il est hérité de la défense passive de la Seconde Guerre mondiale.
Les signaux ont été définis par le décret n°90-394 du 11 mai 1990 relatif au code national d'alerte. Il s'agit d'une sirène montante et descendante, en dents de scie, durant une minute et répété trois fois, avec une pause de cinq seconde entre chaque signal.
Le signal national d'alerte est testé le premier mercredi de chaque mois à midi : le signal d'alerte retentit une seule fois (au lieu de trois) à 12h00, puis le signal de fin retentit à 12h10, ce signal de fin d'alerte informe la population lorsque tout danger est écarté. C'est un signal continu qui dure trente secondes.
Autrefois, cette sirène était exclusivement réservée à l'annonce des bombardements aériens. En temps de paix, on l'utilise en cas de risque majeur
Jusqu'en 1999, les consignes étaient indiquées sur les annuaires téléphoniques de France Télécom.

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Camauro

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Le Camauro est un bonnet de velours ou de satin, le plus souvent bordé d'hermine ou de duvet de cygne ; plus correctement :
cameluccio (en latin : camelacium, parce qu’en poils de chameau à l’origine).

C'était à l'origine une coiffure de moine, attestée par l’iconographie dès le IXe s.

Elle fut réservée au pape à partir de 1464 et portée jusqu’à Pie VI.

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Fréquente dans l'iconographie pontificale entre le début du XVIe s. et la fin du XVIIIe s., elle apparaît encore sporadiquement au XIXe s. Jean XXIII en reprit l'usage et fut enterré portant un camauro, à l'instar de Pie IX et saint Pie X.

Il faudra attendre Benoit XVI à l'occasion d'une audience générale en décembre 2005 pour voir un pape la porter à nouveau.

Aux XVIe-XVIIe s., une variante, la clémentine, était fort à la mode, mais elle est parfois considérée comme une coiffe disctincte, puisque Clément X portait tantôt la clémentine tantôt le camauro.

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sujet sérieux
La vie intérieure
de la cellule

Quand une cellule est attaquée, des centaines de cellules s'assemblent pour la protéger.

]https://www.youtube.com/watch?v=kxSLw1LMvgk

Cette animation extraordinaire montre, molécule par molécule, le mécanisme qui permet à un globule blanc de quitter son vaisseau sanguin pour rejoindre la cellule attaquée.

L'un des instants du film montre cette sorte de mongolfière C'est un petit sac de protéines suivant un des câbles des la cellule pour sortir à l'extérieur. On peut voir cette vidéo plus lentement et avec un commentaire en anglais et sa traduction.
http://bacterioblog.over-blog.com/article-15239021.html

C'est une production réalisée par l'université de Harvard : autres vidéos

]http://multimedia.mcb.harvard.edu/media.html

***
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LE BRIGADIER
*

Au théâtre, les trois coups sont frappés avec un bâton appelé brigadier, juste avant le début d'une représentation, pour attirer l'attention du public, particulièrement quand il y a un lever de rideau.
La tradition peut venir du Moyen Âge, où trois coups, symbolisant la Trinité, terminaient le Mystère.

Ces trois coups pouvaient être précédés d'onze autres martelés (douze apôtres moins Judas).
Une autre explication fait correspondre les trois coups à trois saluts que les comédiens exécutaient avant de jouer devant la Cour : le premier vers la reine (côté cour), le deuxième vers le roi (côté jardin), et le troisième pour le public.

Le grade de brigadier était donné à un ouvrier dirigeant une équipe.
Le régisseur se servant d'un bâton de bois garni de velours pour frapper les trois coups, il rassemble l'équipe du théâtre pour commencer le spectacle tel un brigadier rassemblant ses hommes, on a appelé par métonymie le bâton lui-même un « brigadier ».
Le brigadier est fait traditionnellement en bois avec un morceau de perche de théâtre, décoré de velours rouge et clous dorés.

***
Architecture.
***

Vous avez souvent entendu parler du poullailler au théâtre, mais savez-vous où il se situe ?

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- Avant-scène / scène : 09
- Balcon : 06
- Cantonade ou coulisse : 05
- Cintres : 03
- Corbeille : 04
- Côté cour : 08 / Côté jardin : 07
- Fosse d'orchestre : 12
- Galerie : 01
- Loge : 04
- Orchestre : 13
- Paradis : 02
- Parterre : (13)
- Plateau : 09
- Poulailler : 02
- Rampe : 12

***

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Envoyé : 28/01/2008 14:51

[size=21]On connaît enfin le secret du
logo
Carrefour !

***

Non, ce n'est pas juste un losange rouge et une flèche bleue. C'est beaucoup plus concept ! Voici ce qu'on a découvert grâce à Facebook.
Une flèche et un triangle ?

C'est quoi, ce logo, en fait ?

11.004 membres Facebookont toujours cru, sans doute comme beaucoup d'entre nous que le logo de Carrefour, c'était un triangle rouge qui dit d'aller à gauche, et une sorte de flèche bleue qui dit d'aller à droite... Démonstration.
Carrefour
Ou une incroyable illusion d'optique ?

Et puis un jour, un membre Facebook a créé le groupe "Le jour où j'ai compris ce qu'était le logo Carrefour, ma vie a basculé". Faisant basculer 11.004 autres vies avec la sienne... et maintenant la nôtre.
Car non, ce n'est pas le bleu et le rouge qu'il faut voir, mais le blanc derrière...Eh oui, vous l'avez vu vous aussi ?! C'est un C, comme Carrefour.

Pourquoi tant d'années d'igorance ?
Oui, pourquoi ? Pourtant, on a tous passé des dizaines de samedis après-midi dans les rayons de Carrefour, assis dans le chariot de notre mère. On tous mis nos goûters de récré dans des sacs "Carrouf".
Et pendant des années, on s'est laissé berner.
Alors, avons-nous été victimes d'une image subliminale, d'une manipulation des gourous de la grande consommation ?

Ou sommes-nous juste de terribles ignares hermétiques aux astuces du marketing ?
Ça laisse perplexe...

***
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Pour commencer, je vais vous demander de bien vouloir vous livrer à une petite expérience.

Attention cette épreuve ne concerne pas tous ceux dont la sécurité, ou celle des autres, depend de leur vision ou de leur attention. Si en ce moment vous conduisez, pilotez, êtes en train de pratiquer une opération à coeur ouvert, ou même si vous sautez sur un trampoline, ne le faites pas.

Voila vous allez fermer les yeux.

Sans tricher.

Puis lentement, en prenant le temps, vous allez toucher le bout de votre nez, alernativement avec votre index droit, puis le gauche.
Puis plus dur, maintenant, vos oreilles.
Ca y est ?

Vous savez ce que vous venez de faire ?

Vous venez d’utiliser votre 6eme sens, celui dont on ne parle jamais :
la proprioception

La proprioception est une fonction sensorielle et motrice très importante. C’est à travers elle que nous pouvons avoir un « ressenti » de notre corps et de ses mouvements dans l’espace.
C’est à elle que nous faisons appel lorsque nous exécutons un geste de mémoire, mais aussi lorsque nous apprenons des comportements nouveaux, dans la vie, dans un sport, une activité.
Fondamentalement, elle inscrit notre "moi" dans l'espace, et cela très vite après notre naissance, en quelques mois.

Les pilotes de F1, qui apprennent un circuit, les skieurs de descente, mais aussi les astronautes, ou les musiciens, les cambrioleurs qui doivent éviter les capteurs laser.

Le joueur de Wiii aussi.
http://www.maxoe.com/games/wii-fit-presentation-detaillee-avant-essai/

Enfin dès que nous devons mémoriser des gestes très précis. C'est à dire tout le temps. Par exemple la position que vous avez en ce moment, installé à cette table, pour lire cet écran, est inscrite dans votre "mémoire" proprioceptive.

Tous ceux qui tapent avec deux doigts sur leur clavier de traitement de texte peuvent essayer d’ailleurs, de fermer les yeux pendant qu’ils écrivent. Ils se rendront compte que leurs doigts continuent de courir sur le clavier et qu’en fait ils connaissent les positions des lettres sur le clavier, sans les avoir jamais apprises.

Quelles applications ?
La réalité virtuelle, comme dans les simulateurs, la Wii, mais aussi le clavier invisible, par exemple. Sur le blog techno de "New scientist"
]http://www.newscientist.com/blog/technology/
on trouvera un projet de clavier d’ordinateur virtuel, qui n’existe pas, les doigts venant juste tapoter le bureau là où devraient se trouver les touches…
Les mouvements étant détectés par un système laser.

On fait des erreurs, forcément.
Ce n'est pas très grave : l’ordinateur est capable, avec les séquences de lettres mal frappées, de restituer les mots corrects, par une correction instantanée, comme le système de nos téléphones.

On trouvera sur Internet des sites baratino- marchands, qui tenteront de vous vendre toute une série de gadgets pour développer chez vos enfants le système proprioceptifs

Vous voulez que je vous dise ce que j'en pense ?
Avec un peu d’imagination et de bons sens, si votre enfant tombe, se heurte, ou a une mauvaise image de son corps, un peu de balançoire, de la piscine, des jeux avec sac de couchage, et cela devrait déjà aller mieux. Pas besoins du bidule vibrant, du machin glacé, ou de la brosse sensorielle.

On pense aussi aux âgés. Entrenir son corps, bouger, pratiquer ne serait-ce que la bagatelle, la randonnée ou le tango, c’est excellent, les amis.

Sujet plus grave
Il y a cette relation, soupçonnée, entre des défauts de proprioception, et la dyslexie
]http://pageperso.aol.fr/__121b_mF2Pwpf/2a+Pn5MwZ8JrKbKlQ+Km6ZiJeeju3ow8tfU=

En fait il faudra consulter. Car il y a débat

Mais des études suggèrent que les défauts du système postural fin provoquent des déséquilibres du tonus occulaire.
Les muscles oculaires des dyslexiques présenteraient une activité saccadée anormale en raison d’une asymétrie de tonus . S’y ajoute une mauvaise localisation des mots car les saccades oculaires n’amènent pas le regard au « centre» des mots. (le « centre de gravité d’un mot ou d’un groupe de mot est l’endroit où le regard doit se poser pour permettre le « décodage » du mot).

Pour en savoir plus, en général
]http://pmgagey.club.fr/Lisbonne.htm

***

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Pour vous changer les idées, ce très petit film :

"Comment peler une pomme de terre en 10 secondes"

sans se fatiguer, et même dans le noir.

]https://www.youtube.com/watch?v=PspAeMdnQ-g

***

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J’ai demandé à une artiste australienne, Patricia Piccinini, de me représenter en
" LE MEC de PANDORE "
qui n’aurait pas fait attention à sa nourriture et se serait goinfré d’OGM.

Patricia Piccinini

est une artiste graphique qui a certainement reçu un message cosmique qui lui permet de représenter les dégâts des OGM dans un avenir proche.

Voilà le résultat.
http://www.patriciapiccinini.net/wearefamily/index.php?sec=yf&pg=01

Autant vous dire qu'une robe me sera toujours nécessaire, quelque soit l’évolution des moeurs, on le comprend mieux maintenant en me voyant ci-dessus.

Bon, je me lance de suite à l’élevage de porcs nourris aux OGM (oh ! j'aime ).

Ce doit être mon côté sadique qui ressort.

Ne m’en veux pas ALINA juste une petite envie de me défouler avec toi !

mdrrrrrr

***
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*

PAVE
***
Les premières rues de Paris a être pavé le furent en 1211 grâce à Philippe Auguste (1165-1223) : il s'agissait de pavés en bois.

***
Expression

Tenir le haut du pavé.
(avoir une bonne place dans la société)

Cette expression vient du Moyen-Âge où les rues piétonnes étaient quasiment toutes en forme V de façon à ce que les eaux usées et les insanités s'écoulent au centre.
Les personnes les plus pauvres devaient faire place aux personnes de la noblesse de façon à ce qu'elle se trouve sur le bord (donc sur la partie la plus haute) le plus éloigné des odeurs.

***

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ICI A LA SUITE MERCI MARINE :aimer: TU ES UN AMOUR

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