La connerie humaine est infinie
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La connerie humaine est infinie

Ami lecteur, tu as tapé SEXES EN TOUS GENRES et tu as atterri ici... Tu auras constaté par toi même qu'il y a comme une erreur... C'est con hein !!! ...
 
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 En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers

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MessageSujet: En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers    En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers  I_icon_minitimeJeu 26 Aoû - 9:40

4 800 poules mortes de peur à Pléguien
Deux avions militaires sont passés bas au-dessus de poulaillers des
Côtes-d'Armor, mardi midi. Les volailles ont été épouvantées.


http://www.saint-brieuc.maville.com/actu/actudet_-4-B-B-800-poules-mortes-de-peur-a-Pleguien_dep-1488088_actu.Htm
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marco
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MessageSujet: Re: En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers    En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers  I_icon_minitimeJeu 26 Aoû - 10:52

Normal, les avions sont des chasseurs....Les ricains devraient essayer le rase-motte sur les talibans !
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MessageSujet: Re: En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers    En Bretagne il nous faut des nids de poule et non des poulaillers  I_icon_minitimeJeu 26 Aoû - 12:52

AUTRE FAIT DIVERS

Moutier SUISSE en 2010 :
une poule enterrée vivante lors d’un rituel

Tout a commencé par une bonne intention :
présenter pour la première fois en Europe
l’impressionnante «danse des hommes-oiseaux».
Mais le sacrifice d’un animal, écrasé sous un tronc,
pose problème à Moutier (BE).
La SPA crie à la violation de la loi sur la protection des animaux. Reportage

L’affaire émeut le Jura bernois : une poule a été
enterrée vivante et écrasée sous un tronc d’arbre
pendant un spectacle pour enfants.

Ça s’est passé le 18 juin dernier à 19 h à Moutier (BERNE ),
lors de l’ouverture du Festival Espacestand, destiné à la jeunesse et
aux écoles. Sur l’herbe de l’esplanade, une troupe de jeunes Amérindiens
de l’ethnie mexicaine des Totonaques danse devant 200 à 300 personnes
autour d’un trou circulaire profond de deux mètres.


Le public assiste au spectacle bluffant des «Voladores»,
les hommes-oiseaux.
Un des protagonistes tient dans ses bras une poule noire bien dodue.
Il lui parle (on apprendra plus tard qu’à ce moment-là de la cérémonie,
il lui demande pardon) et lui donne de petites chiquenaudes sur le bec.

Commandée à un éleveur local, la poule semble paisible dans
les bras de son bourreau. La malheureuse ne sait pas encore qu’elle va,
dans quelques instants, être offerte en sacrifice à la terre nourricière.
Elle est saoule, pour sûr, à cause du schnaps qu’on lui a fait boire.
Mais ça, elle doit connaître.
Les gamins à la ferme s’amusent souvent dans la région à donner
aux poules un bout de pain imbibé de pomme pour voir tituber la basse-cour.


Les rites Totonaques, comme quand on lui a donné des fleurs et du tabac,
elle maîtrise moins. A peine a-t-elle le temps de protester qu’elle se
retrouve au fond du trou, le bec dans la boue. On vient de l’y jeter et
c’est là que ça va se gâter.


Deux mètres plus haut, sur la surface, cinquante gros bras, hissent
un mât long de vingt mètres. La base du tronc s’engouffre dans
le trou. Cinq cents kilos qui s’abattent sur elle et c’est la fin de la poule noire.
Le spectacle peut commencer.
Les Voladores grimpent en haut du mât et se mettent à virevolter dans
l’air, les pieds accrochés à une corde.


Pour Espacestand, Germain Meyer, metteur en scène et grand connaisseur
du Mexique – il y a vécu douze ans – a préparé une surprise de taille
aux Prévôtois, les habitants de Moutier.


Pour la première fois en Europe, les jeunes Totonaques du
Centre des arts indigènes de Papantla, institution mexicaine
soutenue par l’Unesco notamment, vont effectuer dans les règles de l’art
leur danse rituelle de fertilité.
Le but est louable : faire découvrir au jeune public une des rares traditions
préhispanique ayant survécu.
«Mais je savais que l’histoire de la poule allait susciter des réactions»,
avoue le metteur en scène.


Sur le moment, le public n’a pourtant pas bronché.
«Tout s’est passé dans un grand recueillement, explique le
journaliste du Quotidien Jurassien Jean-Pierre Girod. L’épisode de la
poule s’est passé très vite et le rituel durait déjà depuis pas mal de temps.»


La veille, après avoir reçu l’autorisation de la Bourgeoisie de
Moutier et du dieu de la forêt, les Totonaques ont choisi l’arbre à
couper, lui ont demandé pardon, avant d’en apporter le tronc à la force du
poignet sur l’esplanade.


Ensuite, pour que «l’arbre ne se venge pas en exigeant le sang d’un des
danseurs», dit Germain Meyer, il faut lui faire l’offrande d’une
poule noire, symbole des forces obscures.



Fanette, 9 ans, a assisté à la scène accompagnée de sa maman.
«J’ai été choquée, dit-elle, surtout quand ils ont lancé la poule dans le trou,
et qu’elle a crié côt-côt!»
Maria, la maman, a certes entendu un enfant «déclarer que ça ressemblait
plus à un enterrement qu’à une fête», mais tout «s’est passé si vite et discrètement».



Pierre, qui tirait ce soir-là une des cordes hissant le tronc, se souvient
s’être «demandé si tout ça était bien légal». Il s’est vite fait une raison
en jugeant du poids de l’arbre et s’est dit «qu’avec ce qu’elle avait reçu
sur la tête, la bête ne devait pas avoir trop souffert».



C’est plus tard, lors de la publication du compte rendu de la soirée que sont
venues les protestations.



N’aurait-on pas pu tuer l’animal plus proprement avant le rite?
«Le sous-sol étant vivant, objecte Germain Meyer, la poule doit aussi
l’être, sinon, le rituel n’est pas authentique. Il ne s’agit pas de maltraitance,
mais d’une tradition qui symbolise la relation entre l’homme, les
animaux et le sacré.»



Violation de la loi
Ernest Schweizer goûte peu à la beauté de cette image trinitaire.
Pour le vice-président de la section Bienne, Seeland et Jura bernois de
la SPA et auteur d’une lettre chargée à l’organisateur de l’événement,
cette poule écrabouillée vivante viole l’article 16 de la loi sur la protection
des animaux (LPA) qui interdit la mise à mort «de manière cruelle»
d’animaux. Tout le reste, «c’est de la philosophie et ce n’est pas avec la
philosophie qu’on arrivera à faire respecter la loi».



A Monible, le défenseur des animaux Maurice Wisard, auteur d’une lettre
de lecteur publiée dans la presse jurassienne, s’indigne de la
non-réaction du public.
Qu’en aurait-il été «si l’animal avait été un chat, un chien ou un agneau?»
demande-t-il. L’argument du respect de la tradition ne le convainc pas.
«On pourrait tout aussi bien justifier l’excision, sous prétexte que c’est une tradition!»



Suite au dépôt d’une plainte, soupçonné d’avoir violé la LPA, délit
poursuivi d’office, Germain Meyer a été entendu par la police cantonale.
Saisi, le juge d’instruction Pascal Fischer devra donc déterminer s’il
est plus cruel pour une poule d’être étourdie à l’eau-de-vie et écrasée
par un tronc de 500 kilos plutôt que de passer à l’abattoir.
Tâche dont il se serait volontiers dispensé.



Il devra également désigner un coupable. Qui risque la prison ou une
amende jusqu’à 20 000 francs? L’organisateur de la soirée ou l’auteur
réel des faits, déjà rentré profiter de la saison des pluies dans l’Etat
mexicain du Veracruz?
«Soyons réalistes, annonce déjà le juge. Il ne faut pas qu’il se fasse trop
de souci, personne ne va finir en prison pour ça.»



http://www.lematin.ch/actu/suisse/poule-enterree-vivante-fait-scandale-moutier-298369?page=1
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