C’est une bombe scientifique passée totalement inaperçue
dans les mainstream media.
Publiée dans la prestigieuse revue Science, l’étude a été menée par
une équipe de chercheurs de Reykjavik, en Islande.
L’Islande en
effet constitue une sorte d’Eldorado pour les généticiens et
les généalogistes du fait de son isolement, de
l’absence
d’immigration après la colonisation viking, et de la grande qualité
des registres de naissances et de mariages.
Les chercheurs ont étudié la fertilité de tous les couples Islandais
nés entre 1800 et 1965, soit un total de 160 811 couples.
Et les résultats constituent une surprise totale :
les couples formés de personnes légèrement apparentées,
à savoir des cousins au troisième ou quatrième degré seraient bien
plus fertiles que les couples formés de personnes non apparentées.
Au XIXe siècle, les couples de cousins au troisième degré ont eu
en moyenne 4,04 enfants et 9,17 petits enfants pour seulement 3,34 enfants
et 7,31 petits enfants pour les couples non apparentés.
Au XXe siècle la tendance est encore marquée, avec 3,27 enfants
et 6,64 petits enfants pour les couples de cousins au troisième degré,
pour 2,45 et 4,86 pour les couples non apparentés.
Pourquoi de tels résultats, alors que nous savons tous que la consanguinité
a tendance à réduire le nombre de descendants par
l’accumulation
d’allèles récessifs néfastes ?
D’après les auteurs de cette étude il s’agirait tout simplement d’une
« juste mesure» génétique. En effet, si les unions de cousins germains
sont néfastes, celles de personnes légèrement apparentées,
offrirait une plus grande compatibilité génétique par rapport à deux
parfaits étrangers ; d’après le Dr. Kari Stefansson, auteur de l’étude :
« Il y a manifestement une sagesse biologique dans
l’union de
personnes relativement proches.»
Le Dr. Stefansson va plus loin, en expliquant que si
l’union
consanguine est peu judicieuse génétiquement, l’union de personnes
génétiquement éloignées est tout aussi mauvaise.
Choisir un(e) partenaire génétiquement très éloigné provoquerait
une trop forte hétérozygotie " l’absence d’harmonie "
Cette étude de très haut niveau et ayant pour sujet une large
population (300 000 personnes) démontre que
- 1) l’endogamie est bénéfique génétiquement et biologiquement et
- 2) le sacro-saint métissage ' politique ' serait une imposture sans
aucune base scientifique…
Sources : Science, Ethnocide, ABC News Health